vendredi 3 juin 2011

Épidémie bactériologique, un peu de raison et ne plus mettre le fric au centre de tout!

Il serait temps d'ériger au rang des priorités absolues la sécurité alimentaire, et donc par voie de conséquence d'empêcher les pollutions y compris les traitements chimiques, et de protéger l'eau dont la qualité nous est vitale.
Pour savoir ce que l'on mange il faudra revenir aux jardins potagers. Mais il faudrait aussi ne pas mettre en vente dans les jardineries autant de produits chimiques car le jardinier du dimanche pratiquerait alors l'auto-empoisonnement.
Manger moins et mieux. On le sait, par rapport aux années cinquante, nous sommes plus sédentaires et devons diminuer nos rations alimentaires pour conserver une bonne santé. C'est l'occasion de basculer sur une exigence de qualité supérieure. Les consommateurs ont ce pouvoir de demande en produits bio qui augmente depuis plusieurs années, avec cette épidémie c'est l'occasion de l'augmenter encore. Même si c'est un peu plus cher, parce que çela demande un peu plus de main d'oeuvre, au lieu d'améliorer la production par des moyens chimiques, on cherchera a le faire par des moyens mécaniques. On a tout a y gagner, y compris en terme d'emploi et de transport, et par ricochet sur les effets de la pollution et du climat.

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